• Nous souhaitons la bienvenue aux   nouveaux adhérents de la saison     2011/2012   !!!!!!!!                                  

                        

    1. Programme d'entrainement du 12 au 18 Septembre 2011   


     

     Mondiaux d’athlétisme de Daegu : LA JAMAÏQUE TERMINE EN BEAUTÉ, LE KENYA SUR LE PODIUM

    Les championnats du monde d’athlétisme se sont achevés dimanche à Daegu, en Corée du Sud, par un dernier éclair d’Usain Bolt et des sprinteurs jamaïcains qui ont signé le seul record du monde en neuf jours de compétition.

    Mardi 6 septembre 2011, par La Rédaction - Article lu 53 fois

     

     Nesta Carter, Michael Frater, Yohan Blake, champion du monde du 100 m individuel, et Usain Bolt ont couru un ébouriffant relais 4x100 mètres en 37"04, six centièmes de moins que les 37"10 du précédent record que leur pays, et Usain Bolt, détenaient depuis les Jeux olympiques de Pékin en 2008.Comme souvent, Usain Bolt, qui courait le dernier relais, a franchi la ligne les yeux rivés sur le chronomètre. Il s’est ensuite mis à danser et à donner le tournis aux photographes qui essayaient de capter son image. "Notre seul objectif était de rentrer sur la piste et de courir vite. Nous l’avons fait. Je suis fier de l’équipe", a ensuite déclaré la star de l’athlétisme qui repart de Daegu avec deux médailles d’or et la déception d’un faux-départ sur 100 m. "Je suis content de moi. J’ai aimé être le dernier relayeur. J’ai un petit problème avec mon tendon d’Achille et je risquais d’avoir des problèmes dans le virage. Il a été décidé que je ferais le dernier relais. Yohan Blake a fait un grand virage."Quand Usain Bolt et Yohan Blake sont en jambes, les autres équipes sont condamnées à faire de la figuration. La France l’a fait avec style. Deuxièmes en 38"20, ses relayeurs Teddy Tinmar, Christophe Lemaitre, médaille de bronze sur 200 m et quatrième du 100 m, Yannick Lesourd et Jimmy Vicaut, finaliste du 100 m, ont été les meilleurs à cet exercice. Saint-Kitts-et-Nevis a terminé troisième en 38"49 grâce à Jason Rogers, Kim Collins, Antoine Adams et Brijesh Lawrence.La course a tourné au cauchemar pour le relais des États-Unis qui était considéré comme le seul à pouvoir rivaliser avec la Jamaïque. Son troisième relayeur Darvis Patton a chuté après avoir heurté le Britannique Marion Devonish avant de transmettre le témoin à Walter Dix, médaille d’argent du 100 m et du 200 m. Les relayeuses américaines du relais 4x100, Bianca Knight, Allyson Felix Marshevet Myers et Carmelita Jeter, avaient juste auparavant accompli leur mission. Elles ont remporté le titre en 41"56 et donné à leur pays la dernière des 25 médailles qui lui ont permis de finir premier du tableau d’honneur avec 12 d’or, 8 d’argent et 5 de bronze.La Russie est deuxième avec 19 trophées, 9 d’or, 4 d’argent et 6 de bronze, tandis que le Kenya complète le podium avec 17 médailles.

     

     

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    Programme d'entrainement du 05 au 11 Septembre 2011

        

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  • Les Français sont mauvais en athlétisme : ce n'est pas un hasard

    SPORT. Constat d'échec aux Mondiaux d'athlétisme de Daegu : malgré une deuxième médaille (du bronze) sur le 3 000 mètres steeple, la France ne brille pas. Nos Bleus semblent scotchés aux starting-blocks, contrairement au judo (six titres lors des derniers Championnats). Un exemple à suivre ?
    Sélectionné et édité par Christopher Ramoné

    Temps de lecture Temps de lecture : 2 minutes

    Il y a eu les Championnats d’Europe, et les médailles qui ont suivi. La France était devenue alors un grand pays de l’athlétisme mondial !

     

    Toutes ces annonces ont été faites sans tenir compte du contexte présent ce jour-là à Barcelone : confusion de niveau entre l’athlétisme européen et l’athlétisme mondial, absence dans certaines délégations européennes des meilleurs éléments (Russie, Allemagne, Pologne, Angleterre, entre autres).

     

    Youtube - Christophe Lemaitre champion d'Europe 2010 du 100 mètres - Par Guitoujean

     

    À partir de là, que se passe-t-il au sein de l’athlétisme français, si ce n’est des résultats bien en-dessous de ceux attendus !

     

    Un constat est tout d’abord à faire. Lorsqu’on regarde les Championnats du Monde de judo, on s’aperçoit que dans chaque catégorie, la concurrence est dure. En effet, avant de prétendre à une sélection nationale, il est très difficile en France de faire partie de la liste des combattants qui défendra les couleurs de l’équipe, aussi bien féminine que masculine. Dans la plupart de ces catégories, deux à trois judokas de niveau mondial se disputent le leadership, signifiant par-là que la relève est prête et que le ou la sélectionné(e) du jour peut à tout moment être remplacé(e) demain.

     

    Idem au handball et, dans une moindre mesure, en natation : des jeunes sportifs de qualité poussent derrière.

     

    Viennent ensuite les autres disciplines sportives dans lesquelles, généralement, un champion français règne en maître au-dessus du lot, loin devant les éventuels prétendants (rugby, cyclisme, athlétisme, football, lutte, basket…).

     

    Et lorsque ce champion faiblit, tout le monde de s’étonner de l’absence de résultats : il suffit pour cela d’écouter les commentaires télévisés des journalistes présents actuellement à Daegu en Corée du Sud ! Tout seul, là-haut, le champion se fonctionnarise dans la mesure où personne ne peut lui revendiquer sa place.

     

    Christopher Lemaitre et Jimmy Vicaut aux Championnats du Monde de Daegu / 28-8-2011 / OLIVIER MORIN / AFP

    Christophe Lemaitre (à gauche) et Jimmy Vicaut (à droite) aux Championnats du Monde d'athlétisme 2011 / AFP

     

    Aux USA, en Jamaïque, en Russie, au Kenya, en Ethiopie et même actuellement en Allemagne et en Angleterre, la concurrence provient non pas du hasard, mais d’un gros travail de détection-sélection, effectué à l’échelle nationale, à partir d’une forte collaboration entre le mouvement sportif fédéral et le milieu scolaire.

     

    Et si on pratiquait du vrai sport à l'école ?

     

    En France, certaines fédérations ont su se développer grâce à la motivation et l’intelligence de dirigeants. Des anciens pratiquants, ont joué tantôt sur un recrutement s’appuyant sur une formation de cadres techniques compétents, et une multiplication de clubs jusque dans les quartiers “chauds” (exemple du judo), tantôt sur une forte initiation scolaire et un travail de détection en relation étroite avec les professeurs d’EPS (exemple du handball).

     

    Problème : l’absence presque régulière de pratique sportive dans le primaire (et donc de sensibilisation, de familiarisation) ou encore les deux heures d’EPS en lycée, à plus de 30 par classe à propos d’activités sportives dénaturées (3 x 500m en athlétisme, acro-gym) ne peuvent en aucune façon permettre l’émergence d’une jeune élite départementale, régionale puis nationale.

     

    Certains sports sont devenus "ringards" aux yeux de notre jeunesse. Si notre pays ne se décide pas à mettre en œuvre une véritable politique sportive impliquant tous les secteurs (école, associations sportives, clubs, CREPS, STAPS, fédérations), et bien nous louperons le train du sport mondial, mais aussi celui d’une éducation à la règle sociale, loin des cours artificiels de "morale", chers aux conservateurs de notre pays.

    Auteur parrainé par Christopher Ramoné

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  • Un rempart a été construit pour protéger Caster Semenya de la presse
    Publié le 22 août 2011 à 10h27, par Gilles Bertrand
    Photo Gilles Bertrand

    A Daegu, il sera difficile pour Caster Semenya d'échapper aux questions dérangeantes de la part d'une presse inquisitrice. Même si la Fédération Sud Africaine tente par tous les moyens d'éviter tous contacts entre la championne du monde et les médias.

    Il sera très difficile d’approcher la Sud Africaine Caster Semenya à Daegu, avant, pendant et après le Mondial.

     

    Car pour éviter tous dérapages et minimiser l’effet dévastateur des polémiques, la fédération Sud Africaine a mis en place un pare feu pour éviter tous contacts avec la championne du monde en titre.

     

    Celle-ci ne s’exprimera pas avant les compétitions, toutes les infos passeront par un manager nommé pour la circonstance, Percy Mphaho qui aura la lourde tache de faire barrage à la presse qui ne manquera pas de s’interroger à nouveau sur le cas Semenya.

     

    Car il y a bien un cas Semenya, une athlète qui n’arrête pas d’enchaîner le bon comme le pire, des variations de chronos et de performances qui pourraient s’expliquer selon le corps médical interrogé par la prise d’hormones qui viendrait influencer ses capacités à courir vite de façon constante toute au long de la saison.

     

    Encore à Shenzhen, lors des Universiades, son abandon a soulevé bien des questions, certains allant même à affirmer que Caster Semenya serait hors de forme, qu’il y aurait de l’eau dans le gaz entre elle et son entraîneur et qu’elle ne serait guère assidue à l’entraînement, un comble à l’approche d’une telle échéance.

     

    La fédération a bien tenté de calmer le jeu avec force communiqués de presse mais le feu couve et les braises rougeoient déjà sous les pieds de la Sud Africaine.

     

    Pour faire taire les plus sceptiques, Percy Mphaho, le manager de Semenya, a d’ors et déjà annoncé que si victoire il y avait, celle-ci serait dédiée à Papa Mandela, le patriarche de la nation Sud Africaine. Difficile dès lors d’avancer sur le terrain dangereux de la critique !

     
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  • Programmes d'entraînements pour la préparation de la Corrida du Dimanche 9 Octobre 2011 ici

      

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